Collaborations

Musée National des Beaux-Arts de Québec

1er avril au 15 mai 2021

Dans la continuité de Foule, Atwood et La Bordée se sont alliés au Musée national des beaux-arts de Québec (MNBAQ) pour proposer un mariage entre les 20 citoyen.ne.s du projet et autant d'œuvres du musée. Cette collaboration s'est déclinée en quatre volets.

Tout d'abord, deux portraits de citoyen.ne.s ont été reproduits et affichés au pavillon Pierre Lassonde du MNBAQ du 1er avril au 14 juin 2021. Imposant.e.s et bienveillant.e.s, Maya et Olivier défiaient les attentes de l’audience, alors que nos voisin.e.s, nos collègues, voire nous-même se retrouvaient érigé.e.s au rang d’œuvre d’art. Ces portraits ont souligné la part d’âme que le public apporte au musée – et aux arts en général –, surtout pendant et après une période de confinement.

Ensuite, les guides-animateurs du musée se sont inspirés du vécu des vingt individus pour proposer une peinture ou sculpture qui leur rend hommage. Cette célébration des liens entre l’art et la communauté, qui rappele la beauté complexe de chaque parcours, s'est matérialisé en un album en ligne visible sur le site des collection du MNBAQ.

Ainsi, cinq des citoyen.ne.s de Foule - Sébastien, Maya, Faustin, Marie-Eve, Olivier - ont pu découvrir leur œuvre dans le cadre d’une touchante capsule Une œuvre expliquée, que vous pouvez visionner ci-dessous.

Finalement, le duo d'artistes Camion Studio a réalisé une vidéo spéciale, projetée sur la murale du 1er avril au 15 mai 2021, afin de montrer en grand les ponts érigés entre Sébastien, Maya, Faustin, Marie-Eve, Olivier et leur oeuvre attitrée.

Ville de Québec

Novembre 2020 à avril 2021

Foule est allé à la rencontre du public avec une exposition ambulante rendu possible grâce à la Ville de Québec. Entre novembre 2020 et février 2021, les portraits et histoires de Mario, Maryam, Maya et Mykaell se sont installés consécutivement sur trois places publiques : le parvis de l'église Saint-Roch, l'avant de la bibliothèque Monique-Corriveau et la base de plein air de Sainte-Foy. En avril, sept autres visages se sont ajoutés à l'exposition près du Centre récréatif Saint-Roch, offrant aux passant.e.s la possibilité de décortiquer les visages à la fois uniques et familiers de Simon, Médine, Denis, Natalie, Raphaël, Eve et François.

Théâtre Jeunesse Les Gros Becs

20 au 30 novembre 2020

Dans le cadre de la Journée mondiale des droits de l'enfant (27 novembre), Foule s'est associé au Théâtre Jeunesse Les Gros Becs pour faire une place aux enfants et à leurs droits. Durant cette période, une projection signée Les Gros Becs a mis de l’avant la parole d’adolescentes de Québec, en alternance avec la projection régulière. De quoi rappeler la jeunesse derrière chaque visage adulte, et le besoin de protéger cette innocence.

Le mois de la poésie

1er au 31 mars 2021

De la poésie en majuscule! Foule inédite, en association avec le Mois de la Poésie, présentait les textes d'Alix Paré-Vallerand, Christian Girard, Shayne Michael et Vincent Lambert dédiés aux citoyen.ne.s Mario, Eve, Corinne et Marie-Eve en alternance avec la projection régulière.

Projections principales

6 octobre 2020 au 15 mai 2021

Tous les soirs du 6 octobre 2020 au 15 mai 2021, la murale Foule s'est illuminée de projections magistrales pour associer les citoyen.ne.s à autant de pièces de théâtre qui représentent leur parcours unique.

Émile Beauchemin : 6 octobre 2020 au 16 février 2021

Pour les quatre premiers mois de Foule, une magnifique projection d'Emile Beauchemin a insufflé une vie toute spéciale à cette murale géante. Réfléchie en à-plats de couleurs et démultiplication des textes et images, le tout résonnait avec le caractère coloré et multiple de la communauté.

Camion studio : 17 février au 15 mai 2021

Gagnant du concours « Foule en mouvement » offrant l'occasion de réinventer la projection sur la murale Foule, CAMION STUDIO a concocté une oeuvre aux couleurs de la ville. Remplis de clins d'oeil au parcours des citoyen.ne.s de l'oeuvre par des jeux de formes, les contours évasifs des images et des couleurs rappelaient l'interconnection de chaque élément d'un système social.